Copain

A Copain, notre chat Je n'ai rien pu écrire plus tôt tant son départ m'a exilé tant son absence m'a absenté Ici la fenêtre en parle encore elle n'est qu'un prétexte pour penser à lui perché auprès des plantes à regarder la ville Ici muette douleur des rappels de souvenirs j'aurais dû le comprendre en l'observant : Tout regard vers le lointain porte la mort en son sein

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

mon premier ouvrage grâce à Yves Perrine

un pays